"...don't be stuck in the every day reality, allow yourself to dream, have faith in your wildest dreams." [AaRON]

"Ne restez pas scotchés à la réalité quotidenne. Permettez-vous de rêver. Croyez en vos rêves les plus fous..." [AaRON]

dimanche 23 décembre 2012

LITTERATURE : "THE CASUAL VACANCY" BY J.K. ROWLING

J.K. Rowling présentant "The casual vacancy"

J'attendais avec impatience le nouveau roman de J. K. Rowling, l'auteur de la série Harry Potter, que j'ai dévorée en français puis, à partir des trois derniers opus, en anglais. Son roman, paru en septembre 2012, est totalement différent de l'univers fantastique de Harry Potter. Il traite de la vie dans un village anglais imaginaire du nom de Pagford, petite ville britannique typique, décrite comme sereine, presque idyllique, dominée par les ruines d'une abbaye du XIIème siècle, et habitée par une communauté aisée. Le roman commence par la mort par AVC de Barry Fairbrother, un conseiller paroissial engagé, dont le décès laisse "une place à prendre", traduction française de l'expression anglaise et du titre original "The casual vacancy".
Le roman est une satyre sociale sans concession de la société anglaise bien-pensante de Pagford qui ne supporte pas l'existence, aux limites immédiates de la commune, d'une banlieue populaire qui concentre les problèmes sociaux, chômage, drogue, violence, etc. Fort de ma pratique de lecture en anglais (je viens de lire coup sur coup six livres dans la langue originale), je ne pensais pas rencontrer autant de difficultés à lire ce livre. Est-ce dû au vocabulaire, qui fait constamment référence à la société anglaise actuelle, ou au style de l'auteur ? Ou bien peut-être au contenu, qui ne me passionne pas outre mesure... Je me suis beaucoup plus régalé avec PS, I love you, de l'auteur irlandais, Cecelia Ahern, qui décrit aussi une société contemporaine avec ses hauts et ses bas, mais qui le fait avec une empathie et un humour que je ne retrouve pas dans le roman de J. K. Rowling.
En outre, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve personnellement la couverture de ce bouquin parfaitement hideuse.

2 commentaires:

  1. j'ai offert "fifty shades of grey" à une nièce qui doit devenir bilingue pour ses études en commerce
    je compte le lui emprunter plus tard
    qd elle l'aura lu , d'abord, et quand j'aurai le temps de lire surtout
    parce que pour le moment .... c'est misère !

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  2. D'après les critiques que j'en ai lues, c'est un livre très "hot". Personnellement, ce n'est pas "my cup of tea", mais pas du tout. J'ai renoncé à lire "The casual vacancy" car le sujet ne m'a pas accroché et le vocabulaire, qui fait référence à beaucoup d'institutions anglaises ou de modes de vie que je ne connais pas, m'a paru trop difficile. Je me régale par contre, après avoir lu "PS, I love you" de Cecelia Ahern, un autre livre d'elle que j'ai sélectionné au hasard dans sa bibliographie "Where rainbows end". Je ne vais pas tarder d'en parler.

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