"...don't be stuck in the every day reality, allow yourself to dream, have faith in your wildest dreams." [AaRON]

"Ne restez pas scotchés à la réalité quotidenne. Permettez-vous de rêver. Croyez en vos rêves les plus fous..." [AaRON]

mercredi 2 octobre 2013

POP : GIRLS IN HAWAÏ "MISSES"

Encore une découverte d'un groupe musical par Télérama (n°3320 du 28/08/2013) qui leur réserve un article élogieux sous la plume de Hugo Cassavetti : Girls in Hawaï. Malgré leur nom, il s'agit de garçons belges qui chantent en anglais. Misses est dédié à Denis Willemans, le batteur du groupe, qui était aussi le frère cadet d'Antoine, le chanteur de Girls in Hawaï, mort dans un accident de la route en 2010.


Misses (paroles/lyrics)
Manques

There is always the sound,
Il y a toujours le son
Are you hearing it too
L’entendez-vous, vous aussi ?
How it's weird living inside the town.
Comme il est étrange de vivre dans la ville
Empty days without you.
Ces jours vides sans toi

There is always a fall
Il y a toujours une fin
But it happened too soon.
Mais elle est arrivée trop tôt
How can I see the living all around,
Comment peut-on voir la vie qui continue
When I struggle with you
Quand je lutte avec toi
There is always a clock
Il y a toujours une horloge
Gods beyond, by the curve
Des dieux au-delà, le virage
What's the point to give in
Où est le moment où l’on cède
To desperation? to desperation...
au désespoir, au désespoir

Youth in the sun drowned in broken seas
Jeunesse dans le soleil noyée dans la tempête
Cruising the summer sands
Traversant les sables de l’été
Despite all the bruises coming from the side
En dépit de toutes les meurtrissures de la vie
You'll always be young and amused (and amused)
Tu resteras jeune et tu t’amuseras à jamais

I miss you...

Tu me manques

[Traduit par Roland Comte]

UN MOMENT DE GRACE : EXTRAIT DU FILM "LADIES IN LAVENDER"

Voici un court extrait du film "Ladies in lavender" (titre français : Les dames de Cornouailles) de Charles Dance dans lequel Daniel Brühl joue le rôle d'un jeune violoniste polonais recueilli, amnésique, après un naufrage en Cornouailles. A cet endroit du film, la mémoire lui revient lorsqu'il entend un violoneux local. Il lui emprunte un instant son violon pour interpréter, à la stupéfaction de tous, cette Fantaisie pour violon et orchestre. L'interprète original du morceau est le grand violoniste américain Joshua Bell.